Septembre
Septembre sent la cuve et le jus de raisin
Les libellules papillonnent en attendant la pluie
La chaleur incertaine s’en remet au soleil
Les jours vont vers la nuit et l’engourdissement
Fermer la porte avant que l’ombre ne m’enferme
Prendre la route en solitaire
Suivre l’écho du coeur vers d’autres lumières
Des espoirs bourdonnent dans ma tête
comme une nuée d’insectes en liesse
Et ce refrain sans fin,
Cette obsession frivole
Partir Partir Partir…
Les libellules papillonnent en attendant la pluie
La chaleur incertaine s’en remet au soleil
Les jours vont vers la nuit et l’engourdissement
Fermer la porte avant que l’ombre ne m’enferme
Prendre la route en solitaire
Suivre l’écho du coeur vers d’autres lumières
Des espoirs bourdonnent dans ma tête
comme une nuée d’insectes en liesse
Et ce refrain sans fin,
Cette obsession frivole
Partir Partir Partir…